• e-atelier avril 2016

    Qu'est-ce que c'est ? Développez en écrivant un texte.

     

    e-atelier avril 2016

    Il était une fois en ce jeudi 21 avril de l'an de grâce 2016, mon aîné parti de bon matin pour le royaume d à côté.  Il y retrouva ses compagnons de fortune. La journée se déroula sans encombre jusqu'à ce drame. Lors d'une joute sportive entre jeunes testostéronés, mon aîné laissa la panse de brebis s échapper.  Il lui courut après, se prit les pieds dans le tapis goudronné et de tout son long s'étala sur le béton. Tout coûté de la tête au pieds... n arrivant plus à se relever... allant même jusqu'à son crâne fracassé et la conscience envolée durant de très longues minutes. C'est alors que le chef des jeunes loups se précipita pour éponger le sang écoulé.  Et essayant de lui tenir conversation, s'aperçut qu'il faisait des convulsions.
    C'est alors que le responsable de l'auberge de jeunesse appela les secouristes chevronnés... dans le même temps un pigeon messager arrivait à ma fenêtre m'informant de l'incident et m'intimant de me rendre sur place expressément. Sautant dans ma diligence, m'y rendis de toute urgence. On m'invita à remonter dans mon véhicule pour nous rendre sur les terres voisines. soit : quittons barons pour rejoindre Brignoles. La calèche de mon aîné tout de rouge parée était d'une rapidité et sur le dessus une jolie petite sirène enfermée dans un petit bocal hurlait si fort que dans les hauts de France on l'entend encore. Au bout de notre route toute l'équipe du centre très hospitalier nous attendait, prévenue de notre arrivée. Ils s occupèrent très bien de mon aîné et moi je devais entamer une partie de poker endiablé. La trésorière des lieux derrière son clavier me pria de sortir mes papiers. Ensuite j'abattis mes cartes. Pus que 2 en mains.. posant la verte, dévoilant ainsi toute ma vie, puis la bleue qui me fit perdre quelques centaines de deniers.
    Un sorcier arriva, m'expliquant que leur centre n'était pas adapté à l'âge de mon aîné. Nous fûmes  alors invités à poursuivre notre route pour les contrées lointaines de far far Faron away... on nous accueillit à l'auberge sainte musse. Contre une autre partie de cartes magiques on nous "offrit" le gîte et le couvert.... dans notre logis pour la nuit 2 paillasses nous attendaient, pour passer le temps ils nous mirent à disposition une boîte à troubadours distrayants.
    J'eu du mal à quitter des yeux une autres boîte troublante reliée à mon aîné ou les battements de son coeur s'inscrivaient. Puis le sommeil nous gagna mais ici de drôles de manies. On nous réveilla toute la nuit sans sommation ni invitation ils entraient pour prendre sa tension!!!
    Au réveil de toute la basse cour le grand chef de la tribu vint à notre rencontre, demanda à mon aîné s'il était bien reposé (ils ont de l'humour en plus) et après quelques examens effectués nous voilà rassurés. Les missives empilées ils m'ont rendu mes papiers, s'en suivit une dernière  partie de cartes magiques où ils me dépouillèrent et de mes dernières pièces.
    On nous dit qu il était temps pour nous de retourner dans notre montagne lointaine. Remerciant nos hôtes avec pour ordre le repos.
    Remontant à 2 dans ma diligence nous sommes rentrés avec prudence .....
    A la réponse qu'est ce que c'est : un accident de la vie !!!!
    Virginie

    Si mes souvenirs sont fidèles, ce dessin provient de la seconde grotte de Lascaux, non encore ouverte au public. Il fut reproduit par un jeune Archéologue, après un déjeuner d’anniversaire fort arrosé. Sa compagne Odile lui avait annoncée le matin même qu’elle le quittait, cela l’avait poussé à boire plus que de raison. Un de ses collègue et ami, voulant l’aider à surmonter ce mauvais moment, lui avait déclaré, il te faut oublier Odile, psychologiquement tu dois la manger la croquer il est indispensable que tu croque Odile… Ces propos tenus lors de la reprise des relevés par calques des croquis dans la grotte originelle explique sans doute ce léger dérapage.

    Ou alors ce croquis représente un des essais du docteur Frankenstein sur les animaux, réalisés avant son succès contestable sur l’homme. Il avait effectivement tenté un croisement entre un vautour et un caïman dont la synthèse fut baptisée par son assistant, vauman ou caïtour.

    Je tiens à préciser à mes éventuels lecteurs que je n'ai fumé ni la moquette ni des substances illicites. 

    Gérard    

     

    Qu’est-ce que c’est ce machin ? à l’envers ? à l’endroit ? Je vois un  œil, un museau de crocodile, des dents qui ont subi un tremblement de gencives à la naissance – on dirait un dinosaure car on voit des écailles que j’imagine vertes…

    Est-ce une bestiole qui a eu un papa et une maman ? est-elle sortie d’un œuf de Pâques géant ? est-ce un dieu égyptien issu des ondes du Nil et pétrifié, un oiseau préhistorique avec une féroce dentition.

    J’ai dans ma mémoire reptilienne la sensation de l’avoir déjà vue…

     

    (niqol)

     

    Un regard inverti.

    J’ai pensé à Ma Mère.

    A son sourire sans joie, à son navire échoué, à la carcasse sans voile de son

    bateau abandonné.

    J’ai pensé à Ta Mère.

    Redoutable, avertie. Ses fausses pertes de mémoire, sa mâchoire de vampire,

    dévorer ses voisins et le petit des voisins.  Toujours aux aguets de la fêlure d’en

    face. Comment s’y engouffrer, et comment se faire plaindre, puis se faire

    adopter, pour mieux griffer, entailler, disséquer, profiter, sucer le sang et s’en

    aller, l’air d’une ingénue, la jupe retroussée, la joue enflée de son nouveau butin,

    quand elle t’a dit un jour : « Méfies toi de cette catin, elle te glissera des doigts,

    elle s’en ira. »

    J’ai pensé à ta Mère et j’ai pensé à Nous.

    J’ai vu dans l’œil du monde. La dureté de nos vies. Une météorite nous a

    anéantis. Il reste en nous des gènes de survie. Aux cataclysmes. Au plus fort qui

    dévore le plus faible. Il reste de la haine, de l’amour, de l’éternité.

    J’avais un crocodile dans le grenier, une araignée dans le beffroi, un furet dans

    l’imaginaire. Une toile, un nid, un terrier, plein de Vie.

    Et j’ai suivi ce mec, son sourire à faire pâlir la Bonne Mère, il me mordillait les

    oreilles, je l’ai suivi au 5° étage, il a croqué mes fesses de ses dents de velours. Il

    a mangé mon cœur, je n’étais  même pas d’accord…

    Je n’ai vu que des dents et un regard malin, je n’ai vu que du vent et un sourire

    malsain.

    Voilà ce que j’ai vu !

     

    Logette

     

     

    A première vue, ne serait ce pas un fragment de dinosaure ? Je l’ai déjà vu quelque part, mais où ?

     

    A tout hasard ne serais-tu pas un calligramme qui a rétréci au lavage

     

    Je reviens à ma première idée : une créature préhistorique, voire fantastique née grâce à Abel,

     

    Clément ou Solal  et à son crayon magique. Plus je le regarde, plus il m’est familier ! Pourquoi restes-tu mystérieux ? Une partie de toi est encore cachée. Nous voyons ce qu’on veut voir ! Et rien ne saute aux yeux ! Pourquoi ?

     

    Sommes nous contraint d’attendre le verdict  car cette vue d’ensemble inspire ma réalité, et pas celle de l’auteur. Reste à espérer qu’en le regardant sous un autre angle, je détecterai un indice. Rien, pour l’instant, c’est le néant et pourtant !

     

    Dès que la solution sera devant nous, la lumière s’éclairera et on dira tous : ha, oui ! C’est évident.

     

    Liék

     

     

     


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